2023 : Une année en rétrospective

29 décembre 2023

CENTRE MONDIAL BAHÁ’Í — Alors que 2023 touche à sa fin, le Bahá’í World News Service revient sur les aperçus des contributions de la communauté mondiale bahá’íe au progrès social.

Promouvoir l’harmonie sociale

Durant cette année touchant maintenant à sa fin, au milieu des turbulences des affaires mondiales et conscients des souffrances du monde, les bahá’ís du monde entier ont ouvert leur cœur à tous – mères et pères, sœurs et frères, voisins et collègues – aidant à créer des sanctuaires de paix et d’espoir. Ensemble, ils ont cultivé de nouvelles amitiés, ne considérant personne comme étranger mais comme membres d’une même famille humaine. Même dans les moments de profonde difficulté et de perturbations imprévues, un désir collectif s’est approfondi pour se connecter les uns aux autres, pour élever chaque âme, et pour contribuer au bien-être de notre société commune.

Au Brésil, la Chambre des députés du Congrès national du Brésil rappelle le siècle d’efforts de la communauté bahá’íe dans ce pays. La députée Érika Kokay (en haut à droite)  a parlé avec émotion du potentiel des enseignements bahá’ís pour inspirer une plus grande unité :      « Dans cet hémicycle, qui a souvent connu des moments d’antagonisme, nous pouvons aujourd’hui écouter la symphonie de la paix présentée par la communauté bahá’íe. Les enseignements bahá’ís nous rappellent chaque jour que l’humanité est une. C’est un hymne d’un grand courage et le contrepoint de toutes les peurs : la foi en l’autre, la foi en la possibilité que tous les peuples puissent vivre en harmonie. »

Au Brésil, la Chambre des députés du Congrès national du Brésil rappelle le siècle d’efforts de la communauté bahá’íe dans ce pays. La députée Érika Kokay a parlé avec émotion du potentiel des enseignements bahá’ís pour inspirer une plus grande unité :

« Dans cet hémicycle, qui a souvent connu des moments d’antagonisme, nous pouvons aujourd’hui écouter la symphonie de la paix présentée par la communauté bahá’íe. Les enseignements bahá’ís nous rappellent chaque jour que l’humanité est une. C’est un hymne d’un grand courage et le contrepoint de toutes les peurs : la foi en l’autre, la foi en la possibilité que tous les peuples puissent vivre en harmonie. »

 En Azerbaïdjan, des discussions au cours d’une conférence nationale organisée par le Comité d’État pour les relations avec les organisations religieuses ont souligné le rôle important des quartiers dans le renforcement de l’harmonie sociale.      « La coexistence pacifique commence au cœur de l’individu, de l’intérieur de sa maison, dans son quartier », a déclaré M. Asgarli (à gauche), un membre du Bureau des affaires extérieures des bahá’ís d’Azerbaïdjan.

Ce sentiment a trouvé écho en Azerbaïdjan où des discussions au cours d’une conférence nationale organisée par le Comité d’État pour les relations avec les organisations religieuses ont souligné le rôle important des quartiers dans le renforcement de l’harmonie sociale.

« La coexistence pacifique commence au cœur de l’individu, de l’intérieur de sa maison, dans son quartier », a déclaré M. Asgarli, un membre du Bureau des affaires extérieures des bahá’ís d’Azerbaïdjan.

Une réception spéciale au Royaume-Uni a commémoré le centenaire de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís de ce pays. Les personnes réunies ont examiné les efforts déployés pour favoriser l’harmonie sociale, en mettant l’accent sur le rôle important des relations de cohésion entre les individus, les communautés et les institutions dans l’édification d’une société plus unifiée.

Une réception spéciale au Royaume-Uni a commémoré le centenaire de l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís de ce pays. Les personnes réunies ont examiné les efforts déployés pour favoriser l’harmonie sociale, en mettant l’accent sur le rôle important des relations de cohésion entre les individus, les communautés et les institutions dans l’édification d’une société plus unifiée.

Dans le monde arabe, les forums de discussion ont joué un rôle important en rassemblant des personnes diverses afin de construire une unité de pensée sur le progrès matériel et spirituel et sur la coexistence.       Durant un épisode de podcast du News Service, Saba Haddad, représentante du Bureau de Genève de la Communauté internationale bahá’íe (BIC), a déclaré : « Plus nous regardons nos points communs, plus nous sommes unis ; plus nous regardons nos différences, plus nous sommes divisés. »

Dans le monde arabe, les forums de discussion connus sous le nom de majalis – un terme arabe désignant un lieu de rassemblement traditionnel – ont joué un rôle important en rassemblant des personnes diverses afin de construire une unité de pensée sur le progrès matériel et spirituel et sur la coexistence.

Durant un épisode de podcast du News Service, Saba Haddad, représentante du Bureau de Genève de la Communauté internationale bahá’íe (BIC), a déclaré : « Plus nous regardons nos points communs, plus nous sommes unis ; plus nous regardons nos différences, plus nous sommes divisés. »

Un essai publié dans The Bahá’í World met en lumière l’idée que les divisions résultent d’une crise d’identité, mais si nous considérons que l’humanité est une, la tension apparemment insoluble entre l’unité et la diversité disparaît.       Shahrzad Sabet écrit : « Loin de menacer ou de contredire la diversité essentielle de l’humanité, les Écrits bahá’ís suggèrent qu’en fait, une identité humaine universelle est particulièrement équipée pour garantir la sécurité fondamentale et l’épanouissement de nos autres identités et de nos affiliations plus étroites. »

Un essai publié dans The Bahá’í World met en lumière l’idée que les divisions résultent d’une crise d’identité, mais si nous considérons que l’humanité est une, la tension apparemment insoluble entre l’unité et la diversité disparaît.

Shahrzad Sabet écrit : « Loin de menacer ou de contredire la diversité essentielle de l’humanité, les Écrits bahá’ís suggèrent qu’en fait, une identité humaine universelle est particulièrement équipée pour garantir la sécurité fondamentale et l’épanouissement de nos autres identités et de nos affiliations plus étroites. »

À travers un sentiment d’unité de plus en plus profond, transcendant les différences, les amis abordent des questions essentielles comme la justice raciale. À Wilmette, aux États-Unis, la maison d’adoration bahá’íe a accueilli une soirée d’arts et et de discussions commémorant le Mois de l’histoire des Noirs.

À travers un sentiment d’unité de plus en plus profond, transcendant les différences, les amis abordent des questions essentielles comme la justice raciale. À Wilmette, aux États-Unis, la maison d’adoration bahá’íe a accueilli une soirée d’arts et et de discussions commémorant le Mois de l’histoire des Noirs.

Une nouvelle déclaration du Bureau de Bruxelles du BIC explore l’une des questions les plus pressantes auxquelles l’Europe est confrontée aujourd’hui : comment surmonter les préjugés raciaux et les autres formes de préjugés.

Une nouvelle déclaration du Bureau de Bruxelles du BIC explore l’une des questions les plus pressantes auxquelles l’Europe est confrontée aujourd’hui : comment surmonter les préjugés raciaux et les autres formes de préjugés.

Le 30e anniversaire de la chaire bahá’íe de l’université de Maryland a fourni une opportunité de réfléchir sur les efforts de longue date pour cultiver un monde plus harmonieux. À l’honneur du 30e anniversaire, le maire d’Athens, en Géorgie, a décrété la « Semaine de la paix mondiale », soulignant l’unité, la justice, et la solidarité humaine.

Le 30e anniversaire de la chaire bahá’íe de l’université de Maryland a fourni une opportunité de réfléchir sur les efforts de longue date pour cultiver un monde plus harmonieux. À l’honneur du 30e anniversaire, le maire d’Athens, en Géorgie, a décrété la « Semaine de la paix mondiale », soulignant l’unité, la justice, et la solidarité humaine.

Au Kazakhstan, dans le cadre d’une série de discussion intitulée Promouvoir le bien-être de la société, des artistes et le Bureau des affaires publiques bahá’í ont exploré comment l’expression de la beauté dans l’art fait naître des pensées d’harmonie et d’élévation de l’esprit humain, et comment les arts peuvent permettre aux gens de percevoir la noblesse chez leurs semblables.

Le Bureau de New York du BIC a examiné ces questions concernant la prospérité humaine durant un forum à l’ONU sur la refonte de l’avenir du travail.       Liliane Nkunzimana, une représentante du BIC, a déclaré : « En enrichissant les conversations sur le travail par une exploration des principes moraux et spirituels pertinents, on peut favoriser une compréhension plus profonde de la nécessité non seulement de développer les compétences et les capacités des personnes pour l’emploi, mais aussi de cultiver l’engagement des personnes en faveur de la justice sociale. »

Le Bureau de New York du BIC a examiné ces questions concernant la prospérité humaine durant un forum à l’ONU sur la refonte de l’avenir du travail..

Liliane Nkunzimana, une représentante du BIC, a déclaré : « En enrichissant les conversations sur le travail par une exploration des principes moraux et spirituels pertinents, on peut favoriser une compréhension plus profonde de la nécessité non seulement de développer les compétences et les capacités des personnes pour l’emploi, mais aussi de cultiver l’engagement des personnes en faveur de la justice sociale. 

Harmonie de la science et de la religion

La prévalence croissante de la numérisation, de l’automatisation, et de l’intelligence artificielle a revigoré une série de questions de fond dans la conscience publique concernant la technologie et l’harmonie entre science et religion.

Le Bureau de Jakarta du BIC a exploré la façon dont les technologies numériques peuvent contribuer au progrès social. Dans ses remarques lors d’une table ronde, Desytia Nawris, représentante du Bureau, a dit : « Si la technologie doit être un moyen de progrès, elle doit alors renforcer les aspirations et les principes nobles, tels que l’unité et la justice. »

Le Bureau de Jakarta du BIC a exploré la façon dont les technologies numériques peuvent contribuer au progrès social. Dans ses remarques lors d’une table ronde, Desytia Nawris, représentante du Bureau, a dit : « Si la technologie doit être un moyen de progrès, elle doit alors renforcer les aspirations et les principes nobles, tels que l’unité et la justice. »

Matt Weinberg, un technologue américain, dit dans un épisode de podcast du News Service : « Ce n’est pas seulement de méthodologie dont nous avons besoin, ni seulement des valeurs, c’est de méthodologies et de valeurs ensemble. Dans la foi bahá’íe, cette idée est exprimée le plus directement par l’idée de l’harmonie entre la connaissance scientifique et la connaissance religieuse. »

Matt Weinberg, un technologue américain, dit dans un épisode de podcast du News Service : « Ce n’est pas seulement de méthodologie dont nous avons besoin, ni seulement des valeurs, c’est de méthodologies et de valeurs ensemble. Dans la foi bahá’íe, cette idée est exprimée le plus directement par l’idée de l’harmonie entre la connaissance scientifique et la connaissance religieuse. »

Une déclaration publiée par le BIC a exploré les raisons pour lesquelles il est essentiel d’intégrer diverses perspectives, en particulier celle des femmes, dans le processus de conception et de distribution des technologies numériques.

Une déclaration publiée par le BIC a exploré les raisons pour lesquelles il est essentiel d’intégrer diverses perspectives, en particulier celle des femmes, dans le processus de conception et de distribution des technologies numériques. Une autre déclaration conjointe du BIC appelle les dirigeants européens à examiner sérieusement les défis systémiques de l’ordre alimentaire mondial à la lumière du principe d’unicité de l’humanité.

La 47e conférence annuelle de l’Association pour les études bahá’íes (AEB) a encouragé les participants à corréler les principes spirituels et les perspectives issues de divers domaines de la connaissance, cherchant à découvrir de nouvelles perspectives pour relever les défis auxquels l’humanité est confrontée.

La 47e conférence annuelle de l’Association pour les études bahá’íes (AEB) a encouragé les participants à corréler les principes spirituels et les perspectives issues de divers domaines de la connaissance, cherchant à découvrir de nouvelles perspectives pour relever les défis auxquels l’humanité est confrontée.

Une délégation du BIC a participé à la conférence sur les changements climatiques COP28 aux Émirats arabes unis.

Une délégation du BIC a participé à la conférence sur les changements climatiques COP28 aux Émirats arabes unis.

Les sites des Maisons d’adoration bahá’íes à Santiago, au Chili, and et à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC) ont accueilli de vibrantes discussions sur la relation de l’humanité avec le monde naturel.

Le mouvement des jeunes

Les jeunes ont été à l’avant-garde des initiatives d’action sociale au cours de l’année écoulée, remettant en cause les idées reçues qui les présentaient sous un jour négatif et qui les qualifiaient de rebelles ou d’apathiques.

Un épisode de podcast du News Service a exploré la façon dont le programme Préparation à l’action sociale (PSA) renforce la capacité des jeunes à appliquer les connaissances scientifiques ainsi que les principes spirituels au développement de leurs communautés.

Un épisode de podcast du News Service a exploré la façon dont le programme Préparation à l’action sociale (PSA) renforce la capacité des jeunes à appliquer les connaissances scientifiques ainsi que les principes spirituels au développement de leurs communautés. Dans un autre épisode de podcast, en parlant du potentiel des jeunes, Shirin Youssefian Maanian, membre du Corps continental des conseillers en Europe, a dit : « Les jeunes ont cette soif de connaissance et d’apprentissage. Ils veulent contribuer à un monde meilleur. Et ils ont aussi cette passion pour la justice. »

Au Kenya, un groupe de jeunes a enregistré et partagé des programmes par le biais de plateformes de messagerie qui tissent ensemble des aperçus et perspectives de personnes d’horizons divers, enrichissant les conversations sur les thèmes du progrès social.

Au Kenya, un groupe de jeunes a enregistré et partagé des programmes par le biais de plateformes de messagerie qui tissent ensemble des aperçus et perspectives de personnes d’horizons divers, enrichissant les conversations sur les thèmes du progrès social.

S’efforcer vers l’égalité des femmes et des hommes

Dans tous ces efforts, femmes et hommes, côte à côte, ont travaillé ensemble pour planter les graines de l’égalité.

En Inde, la chaire bahá’íe d’études sur le développement a lancé une série de discussions sur la construction d’un monde plus solidaire. Arash Fazli, professeur adjoint et responsable de la chaire bahá’íe, a dit : « Le moyen le plus sûr de remplacer les normes oppressives en matière de genre est de s’attaquer aux concepts et aux pratiques inculqués aux jeunes esprits dès leur plus jeune âge dans le cadre familial. » Dr Fazli a ajouté qu’il y a un besoin « d’élever des garçons et des filles qui aspirent à développer leurs capacités au service de l’humanité et de notre planète ».

Le Bureau d’Addis-Abeba de la BIC a publié une courte vidéo explorant le rôle important que les femmes peuvent jouer dans le processus de consolidation de la paix.

Lors de la 67e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW), les contributions de la BIC ont insisté sur l’importance d’intégrer divers points de vue et l’engagement des femmes dans le processus de conception et de distribution des technologies numériques.

Lors de la 67e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW), les contributions de la BIC ont insisté sur l’importance d’intégrer divers points de vue et l’engagement des femmes dans le processus de conception et de distribution des technologies numériques.

Dans un épisode de podcast du News Service, Yevgeniya Poluektova, un membre du Corps continental des conseillers en Europe, a raconté une histoire fascinante sur la résilience des femmes réfugiées dans plusieurs pays européens qui participent aux initiatives bahá’íes d’éducation morale et spirituelle, et qui, malgré leur situation difficile, trouvent des moyens créatifs d’améliorer la vie de leurs communautés.      Mme Poluektova a dit : « Indépendamment de l’endroit où vous vous trouvez […] l’autonomisation n’est pas quelque chose qu’une ONG vous donne. Vous avez ce pouvoir en vous, et en travaillant avec d’autres personnes, ce pouvoir se multiplie. »

Dans un épisode de podcast du* News Service*, Yevgeniya Poluektova, un membre du Corps continental des conseillers en Europe, a raconté une histoire fascinante sur la résilience des femmes réfugiées dans plusieurs pays européens qui participent aux initiatives bahá’íes d’éducation morale et spirituelle, et qui, malgré leur situation difficile, trouvent des moyens créatifs d’améliorer la vie de leurs communautés.

Mme Poluektova a dit : « Indépendamment de l’endroit où vous vous trouvez […] l’autonomisation n’est pas quelque chose qu’une ONG vous donne. Vous avez ce pouvoir en vous, et en travaillant avec d’autres personnes, ce pouvoir se multiplie. »

Bien connue pour promouvoir l’éducation des jeunes femmes, l’école internationale Banani en Zambie a célébré son 30e anniversaire. L’approche éducative multidimensionnelle de l’école intègre les activités intellectuelles à l’acquisition d’une compréhension morale et de connaissances spirituelles, cultivant ainsi un environnement d’apprentissage riche.

Bien connue pour promouvoir l’éducation des jeunes femmes, l’école internationale Banani en Zambie a célébré son 30e anniversaire. L’approche éducative multidimensionnelle de l’école intègre les activités intellectuelles à l’acquisition d’une compréhension morale et de connaissances spirituelles, cultivant ainsi un environnement d’apprentissage riche.

L’appel pour l’égalité a trouvé écho dans le monde entier en juin lorsque la mémoire des 10 femmes bahá’íes qui ont été pendues à Chiraz, en Iran, il y a 40 ans, a été honorée de multiples façons.      La campagne « Our Story Is One » résonne avec les plus profondes aspirations des populations du monde entier à se tourner vers l’unité plutôt que la division et à voir l’interconnexion de nos histoires.

L’appel pour l’égalité a trouvé écho dans le monde entier en juin lorsque la mémoire des 10 femmes bahá’íes qui ont été pendues à Chiraz, en Iran, il y a 40 ans, a été honorée de multiples façons.

La campagne « Our Story Is One » résonne avec les plus profondes aspirations des populations du monde entier à se tourner vers l’unité plutôt que la division et à voir l’interconnexion de nos histoires.

Une vidéo produite par le News Service met en lumière l’initiative #OurStoryIsOne sur les réseaux sociaux.

Nouveaux départs

Cette année écoulée a été marquée par un nombre de nouveaux départs.

En RDC, la première maison d’adoration nationale bahá’íe a ouvert ses portes et la Maison universelle de justice a également annoncé les plans pour la création de trois nouvelles Maisons d’adoration : des temples locaux à Kanchanpur, au Népal, et à Mwinilunga, en Zambie, ainsi qu’un temple national au Canada.

En RDC, la première maison d’adoration nationale bahá’íe a ouvert ses portes et la Maison universelle de justice a également annoncé les plans pour la création de trois nouvelles Maisons d’adoration : des temples locaux à Kanchanpur, au Népal, et à Mwinilunga, en Zambie, ainsi qu’un temple national au Canada.

Publications

Un nombre de nouvelles publications imprimées et numériques sont devenues disponibles au cours de l’année écoulée.

Une nouvelle édition de la publication intitulée Pour l’amélioration du monde a été publiée, mettant en lumière les efforts de la communauté bahá’íe pour contribuer au progrès matériel et social.

Une nouvelle édition de la publication intitulée Pour l’amélioration du monde a été publiée, mettant en lumière les efforts de la communauté bahá’íe pour contribuer au progrès matériel et social.

Le News Service a présenté deux nouvelles séries de podcasts vidéo, une intitulée Entretiens, et l’autre intitulée Aperçus du terrain. Les épisodes de ces podcast explorent les initiatives d’éducation morale et spirituelle dans les communautés du monde entier, les initiatives d’action sociale émergentes en Papouasie-Nouvelle-Guinée, et les initiatives agricoles de FUNDAEC, une organisation d’inspiration bahá’íe, en Colombie.

Le News Service a présenté deux nouvelles séries de podcasts vidéo, une intitulée Entretiens, et l’autre intitulée Aperçus du terrain. Les épisodes de ces podcast explorent les initiatives d’éducation morale et spirituelle dans les communautés du monde entier, les initiatives d’action sociale émergentes en Papouasie-Nouvelle-Guinée, et les initiatives agricoles de FUNDAEC, une organisation d’inspiration bahá’íe, en Colombie.

La langue persane a été incluse dans le site du Bahá’í World News Service, et une nouvelle section vidéo a été présentée, englobant l’ensemble des productions vidéo du BWNS, y compris les courtes vidéos, documentaires, et podcasts vidéo, marquant une amélioration notable depuis la fondation du News Service il y a plus de deux décennies.

La langue persane a été incluse dans le site du Bahá’í World News Service, et une nouvelle section vidéo a été présentée, englobant l’ensemble des productions vidéo du BWNS, y compris les courtes vidéos, documentaires, et podcasts vidéo, marquant une amélioration notable depuis la fondation du News Service il y a plus de deux décennies.

Une nouvelle section du site Bahai.org a été lancée, offrant une présentation du calendrier bahá’í et des dates importantes.

Une nouvelle section du site Bahai.org a été lancée, offrant une présentation du calendrier bahá’í et des dates importantes.

La célèbre maison d’édition, George Ronald, a célébré 80 ans de publications sur la Foi et de stimulation de la vie intellectuelle de la communauté bahá’íe.

La célèbre maison d’édition, George Ronald, a célébré 80 ans de publications sur la Foi et de stimulation de la vie intellectuelle de la communauté bahá’íe.

13e Convention internationale bahá’íe

Des délégués formant un échantillon représentatif de l’humanité ont élu la Maison universelle de justice lors de la 13e Convention internationale bahá’íe, une expérience profondément émouvante qui les a énormément inspirés.

Des délégués formant un échantillon représentatif de l'humanité ont élu la Maison universelle de justice lors de la 13e Convention internationale bahá’íe, une expérience profondément émouvante qui les a énormément inspirés.

Un film commandé par la Maison universelle de justice a été visionné durant la Convention.

Une réception exceptionnelle a réuni des dignitaires de Haïfa et des délégués bahá’ís participant à la Convention internationale bahá’íe.      La maire de Haïfa, Einat Kalisch-Rotem, a exprimé sa profonde gratitude pour l’opportunité qui lui était donnée de s’adresser au groupe diversifié et son admiration de longue date pour la foi bahá’íe. « C’est un honneur pour moi d’être ici devant vous en tant que maire de Haïfa, la ville où se trouve l’un de ses symboles emblématiques et l’un des lieux les plus sacrés et spirituels de la communauté bahá’íe. Le Centre mondial bahá’í, y compris le tombeau du Báb et les terrasses, est un symbole de l’engagement bahá’í en faveur de l’unité, de la paix et de l’égalité. »

Une réception exceptionnelle a réuni des dignitaires de Haïfa et des délégués bahá’ís participant à la Convention internationale bahá’íe.

La maire de Haïfa, Einat Kalisch-Rotem, a exprimé sa profonde gratitude pour l’opportunité qui lui était donnée de s’adresser au groupe diversifié et son admiration de longue date pour la foi bahá’íe. « C’est un honneur pour moi d’être ici devant vous en tant que maire de Haïfa, la ville où se trouve l’un de ses symboles emblématiques et l’un des lieux les plus sacrés et spirituels de la communauté bahá’íe. Le Centre mondial bahá’í, y compris le tombeau du Báb et les terrasses, est un symbole de l’engagement bahá’í en faveur de l’unité, de la paix et de l’égalité. »

Fournir des sanctuaires

Au sein des communautés du monde entier, des personnes de toutes origines ont trouvé refuge dans les nombreuses initiatives bahá’íes pour l’adoration et le service.

Dans un épisode de podcast du News Service, un groupe de jeunes servant au Centre mondial bahá’í ont échangé sur la manière dont les temples bahá’ís expriment l’interaction entre le service et l’adoration.

Dans un épisode de podcast du News Service, un groupe de jeunes servant au Centre mondial bahá’í ont échangé sur la manière dont les temples bahá’ís expriment l’interaction entre le service et l’adoration.

Le doux appel pour l’unicité a trouvé écho dans la maison d’adoration de Tanna lors d’un rassemblement des diverses communautés religieuses, célébrant le 2e anniversaire de l’inauguration du temple.       Un membre de l’Assemblée spirituelle nationale bahá’íe de Vanuatu a déclaré que « ceux qui prient dans ses murs peuvent ressentir la force motivante de l’amour, un amour qui attire les personnes de toutes races et de toutes origines, un amour si nécessaire en ces temps troublés ».

Le doux appel pour l’unicité a trouvé écho dans la maison d’adoration de Tanna lors d’un rassemblement des diverses communautés religieuses, célébrant le 2e anniversaire de l’inauguration du temple.

Un membre de l’Assemblée spirituelle nationale bahá’íe de Vanuatu a déclaré que « ceux qui prient dans ses murs peuvent ressentir la force motivante de l’amour, un amour qui attire les personnes de toutes races et de toutes origines, un amour si nécessaire en ces temps troublés ».

Les participants au rassemblement organisé à la maison d’adoration bahá’íe à Santiago, au Chili, ont échangé sur la manière dont la religion peut contribuer à bâtir une société plus solidaire.

Les participants au rassemblement organisé à la maison d’adoration bahá’íe à Santiago, au Chili, ont échangé sur la manière dont la religion peut contribuer à bâtir une société plus solidaire.

Un épisode de podcast du News Service a exploré les perspectives sur la manière dont les maisons d’adoration bahá’íes au Kenya et en Ouganda enrichissent la vie de la communauté.

Les membres d’un bureau d’urgence, mis en place en Turquie à la suite du terrible tremblement de terre qui a secoué la région, ont observé comment une orientation vers le service et les liens d’amitié qui sont cultivés à travers les efforts bahá’ís de construction communautaire ont été des facteurs clés pour répondre à la crise.

La construction du mausolée de ‘Abdu’l‑Bahá

À travers leurs efforts, d’innombrables personnes étaient connectées dans leur amour immense pour ‘Abdu’l‑Bahá, pour qui un mausolée est en cours de construction.

Un court film racontant le travail de construction a été publié lors de la Convention internationale bahá’íe. Depuis, le travail a progressé sur le treillis – la structure du toit qui couvre l’édifice central du mausolée – marquant une étape majeure du projet et révélant pour la première fois le corps complété en béton.

Un court film racontant le travail de construction a été publié lors de la Convention internationale bahá’íe. Depuis, le travail a progressé sur le treillis – la structure du toit qui couvre l’édifice central du mausolée – marquant une étape majeure du projet et révélant pour la première fois le corps complété en béton.

Vue du corps complété en béton du mausolée de ‘Abdu’l‑Bahá.
Vue du progrès de la construction dans le centre d’accueil des visiteurs d’Acre en travaux.
Vue aérienne du site du mausolée de ‘Abdu’l‑Bahá, montrant les dernières avancées dans la construction.

Une fois complétée, cette structure sacrée servira comme lieu de prière et de méditation pour les visiteurs du monde entier afin de s’inspirer de la vie et de l’œuvre de ‘Abdu’l‑Bahá, héraut de paix, défenseur de la justice sociale, et un refuge pour toute l’humanité.